Marie Chênel

Marie Chênel (née en 1985, à Nevers) est critique d’art. Elle collabore régulièrement à des revues spécialisées (dont Artpress, Le Quotidien de l’Art) et écrit pour des monographies d’artistes (Mathieu Mercier, «  Mécanique de la tension  » in Everything but the Kitchen Sink, éd. Snoeck, Gent, 2015 ; Marie Lelouche, «  La forme en creux  », éd. Alberta Pane, Paris, 2016) ou des catalogues d’expositions (à paraître  : Arts et cinéma, 120 années d’échanges, éd. Turner, Madrid, 2016). Développant plusieurs activités dans le champ de l’art, elle travaille notamment pour la Fondation d’entreprise Hermès, le Palais de Tokyo et La Cinémathèque française. De 2012 à 2015, elle a cofondé et présidé PASTE, l’association des diplômé(e)s du Master 2 Sciences et Techniques de l’Exposition de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

Elle a été critique associée pour les résidences de novembre 2016 à Janvier 2017 et de mars à mai 2017. Elle a écrit le texte Dernier contact sur l’exposition l’agonie du calamar de Thibault Pellant, et le texte Un Rembrandt comme planche à repasser sur l’exposition Les vedettes, on ne s’en sépare pas de Clémence Estève.